- Speaker #0
BPCE Assurance vous présente Ça nous rassure, l'audiomag pour vivre mieux protégé.
- Speaker #1
Bonjour à toutes et à tous et bienvenue dans votre nouveau podcast Ça nous rassure, l'audiomag pour mieux vivre protégé. Notre objectif à travers ce nouveau format, soutenir les initiatives durables et mettre en avant des solutions simples et efficaces pour contribuer à protéger la planète et vos intérêts bien sûr. Posséder un logement pavillonnaire, vous le savez peut-être, c'est le rêve de beaucoup de Français encore aujourd'hui. Et pour cause ? L'habitation individuelle incarne un espace privé où règne le confort et la tranquillité. Et pourtant, ce rêve de propriété aujourd'hui soulève de vrais questionnements par rapport à nos modes de consommation et surtout aux problèmes d'ordre écologique qui lui sont étroitement liés. Mais comment choisir un logement durable ? Quels sont ces nouveaux modèles d'habitation de demain ? Et surtout, comment profiter des nouvelles solutions pour réduire son budget énergétique ? C'est tout de suite que nous allons partir à la découverte de ces solutions grâce auxquelles confort et responsabilité ne sont plus des mots incompatibles. Et pour ce premier épisode de notre audiomag, notre journaliste Céline Dacostaille est partie dans le Grand Est à la découverte de l'écoquartier de la Brasserie à Strasbourg, au cœur du Faubourg de Cronenbourg. Cet écoquartier qui porte bien son nom puisqu'il a été justement construit sur une friche industrielle après démolition d'une partie des usines d'une célèbre brasserie. Allez, c'est parti !
- Speaker #2
Oui, Achat, nous voilà dans l'euro-métropole de Strasbourg, ville verte résolument tournée vers l'écologie, une ville où le respect de l'environnement est primordial. On va d'ailleurs s'en rendre compte très vite en utilisant les transports en commun pour aller dans l'éco-quartier de la Brasserie. Il faut savoir que le réseau de tramway de Strasbourg, c'est le plus long de France et il est même gratuit pour les moins de 18 ans. Bon alors, pour nous, c'est râpé, mais ce n'est pas grave. On prend des billets, c'est parti.
- Speaker #3
Au chez les Strasbourgs.
- Speaker #2
Et nous voilà arrivés dans le quartier de Cronenbourg, à quelques encablures du centre-ville de Strasbourg, où on retrouve Anaïs Guiat, la chef de projet de l'écoquartier de la Brasserie, où nous nous trouvons. C'est elle qui a suivi tout le processus de création pour la CERS, la société qui construit, aménage et gère l'espace urbain dans le Barin. Bonjour Anaïs.
- Speaker #3
Bonjour Céline, bienvenue à Strasbourg.
- Speaker #2
Merci. Est-ce que vous pouvez nous dire, Anaïs, en quelques mots... Quand a été construit l'écoquartier de la brasserie et pourquoi avoir choisi de construire ici, sur cette friche industrielle qui abritait jadis les usines d'une célèbre brasserie ?
- Speaker #3
Pour nous, l'aventure a commencé en l'an 2000, lorsque cette fameuse brasserie a décidé d'arrêter le brassage sur le site de Cronenbourg. Grâce à l'appui de la collectivité, nous avons pu racheter en 2006 cette friche industrielle qui constituait une opportunité vraiment très importante de reconvertir justement un espace très proche du centre-ville en logement de qualité. vraiment avec une envie de se tourner vers le développement durable.
- Speaker #2
Oui, et on parlait tout à l'heure de mixité architecturale. C'est vrai que l'architecture est très différente et assez étonnante. Par exemple, nous sommes au pied de l'immeuble K-UT, K apostrophe plus loin UT. Il est exceptionnel par sa taille, cet immeuble, mais pas que.
- Speaker #3
Alors oui, il est exceptionnel de par le montage qui a conduit à sa construction. Les gens qui étaient intéressés pour acquérir un logement n'ont pas fait appel à un promoteur, mais ils se sont constitués eux-mêmes en association pour devenir maîtres d'ouvrage et gérer. Merci. la totalité des études et des travaux du projet. C'est ce qu'on appelle aussi l'habitat participatif ou l'autopromotion.
- Speaker #2
Oui, c'est un immeuble qui regroupe plusieurs fonctions, habitat, logement handicapé, locaux professionnels, associatifs, et puis il mutualise les services pour tous, ça c'est super. Terrasses, buanderies, locales bricolages, tout est partagé. Et tout autour de ces bâtiments colorés, c'est la nature qui est très présente. On les entend, les oiseaux, il y a des jardins partagés, des espaces de jeux pour les enfants. Et cette nature, les habitants en profitent en toute... de tranquillité, Anaïs, parce qu'il y a très peu de circulation. Je n'ai pas vu une seule voiture.
- Speaker #3
Oui, effectivement, dans cet écoquartier, c'était aussi une volonté au niveau du cahier des charges d'origine. Et la présence de la nature est possible grâce à la mutualisation des parkings de l'ensemble des immeubles du quartier. On a un seul parking souterrain qui regroupe toutes les voitures de tout l'écoquartier, ce qui permet de libérer complètement les espaces supérieurs de la voiture.
- Speaker #2
L'îlot est complètement piéton. Alors, parlons maintenant, Anaïs. D'un aspect important, l'aspect environnemental de l'écoquartier et de la brasserie. C'est un quartier qui gère ses ressources. On parle des déchets, des eaux pluviales, mais aussi sa production de chauffage et d'eau chaude. Comment est-ce que c'est possible qu'un quartier aussi grand soit complètement autonome de ce point de vue-là ?
- Speaker #3
Alors là, sur cette question-là aussi, on a pu tirer parti de l'histoire de cette friche, puisqu'on utilise un puits de captage existant des anciennes brasseries pour alimenter un réseau de chaleur sur géothermie. Ce qui permet aux ménages de faire des économies sur leurs factures de chauffage et d'eau chaude.
- Speaker #2
Et ça, par les temps qui courent, c'est plutôt une bonne nouvelle. Merci beaucoup, Anaïs Guia, pour cette balade enrichissante au cœur de l'écoquartier de la Brasserie à Strasbourg. Merci beaucoup,
- Speaker #1
Céline.
- Speaker #2
Toutes ces solutions à chasse, c'est bon pour la planète, mais c'est aussi bon pour le porte-monnaie. Je suis avec Martine. Bonjour Martine. Bonjour Céline. Alors vous Martine, vous vivez ici dans cet écoquartier de la Brasserie depuis quand ?
- Speaker #4
Alors moi j'ai été livrée en mars 2014, donc j'étais l'une des premières à être livrée.
- Speaker #2
Qu'est-ce que ça change pour vous de vivre dans cet écoquartier ?
- Speaker #4
Alors moi c'est vrai que depuis que j'habite ici, je prends un peu moins mon véhicule. Alors bien sûr je l'utilise dans le cadre professionnel, mais par contre le week-end, Je n'utilise que mon vélo puisque nous sommes à une douzaine de minutes de la... place Clébert.
- Speaker #2
Et on a parlé beaucoup avec Annelise de l'aspect environnemental de l'écoquartier. Est-ce que par exemple le fait d'avoir ce puits de captage en géothermie, est-ce que ça vous a permis de faire des économies de chauffage ?
- Speaker #4
Absolument, ça nous a permis de faire des économies puisqu'on réutilise effectivement les calories qui sont dans la nappe phréatique et nous avons en plus utilisé donc le puits de captage qui était déjà existant sur les brasseries de Cronenbourg.
- Speaker #2
Merci beaucoup Martine. Je vous propose de venir boire une petite orange d'or dans le jardin partagé. C'est formidable. Vous voyez, Acha, encore une preuve de la convivialité incroyable de cet endroit. Et on suit Martine. Alors, là, c'est chez vous.
- Speaker #1
Merci Céline pour ce petit voyage en Alsace, région qui m'est chère, puisque je vis entre Paris et Strasbourg. Et place maintenant à notre... chronique avec Maguede Rabia. Maguede, bonjour.
- Speaker #5
Bonjour Achat.
- Speaker #1
Alors nous venons d'écouter ce reportage avec Céline et qu'est-ce qu'ils sont accueillants ces Alsaciens. Allez, nous allons essayer de comprendre pourquoi on essaye d'opposer l'habitat collectif à l'habitat individuel et surtout voyons ensemble si ces deux types d'habitats ont un impact plus ou moins important sur notre environnement. Allez, un peu de contexte Maguede.
- Speaker #5
Alors Achat, commençons tout d'abord pour faire un état des lieux. Selon les derniers chiffres de l'INSEE, En 2021, la France compte 37 millions de logements. Sur ces 37 millions, l'habitat individuel représente 56% des logements, contre 44% pour des logements collectifs. Alors, ces chiffres sont les mêmes qu'en 1982. C'est assez fou quand on compare ces chiffres. Oui, mais depuis quelques années maintenant, la part de l'habitat individuel recule légèrement. Le nombre de logements collectifs augmente plus vite que celui des logements individuels, allant jusqu'à deux fois plus vite sur les cinq dernières années. et Depuis 2013, achats par exemple, les logements achevés sont plus souvent collectifs qu'individuels.
- Speaker #1
Alors pour bien comprendre, quels sont les impacts environnementaux de l'habitat de manière générale ?
- Speaker #5
Alors à l'échelle mondiale, l'habitat est parmi les premières causes de dégradation écologique. La consommation énergétique des bâtiments est le premier secteur d'émission de CO2 au niveau mondial. La construction de bâtiments est l'une des industries qui génère à la fois le plus de gaz à effet de serre et le plus de déchets.
- Speaker #1
Mais alors la maison individuelle est-elle plus ? ou moins écologiques qu'un habitat collectif ?
- Speaker #5
Alors dire si la maison individuelle est plus écologique ou moins écologique que l'habitat collectif est donc par définition assez difficile car il faut observer de nombreux facteurs différents. Les émissions de CO2 et de gaz à effet de serre, la pression sur les ressources naturelles, les pollutions diverses. Alors on pense notamment aux particules fines ou encore aux pollutions chimiques.
- Speaker #1
Et donc, qu'on soit une maison individuelle et moins écologique que qu'on soit un logement collectif ? Pourquoi Maguede ?
- Speaker #5
Lorsque l'on construit une maison individuelle, on a besoin de plus de matériaux, plus de ressources, plus d'énergie, plus de carburant et plus de machinerie que pour construire un habitat collectif. Alors c'est assez logique, si l'on construit un bâtiment de 5 étages pour 10 familles, on fait un seul chantier pour 10 logements, une seule dalle de fondation, un seul toit, des murs partagés. La construction d'un immeuble permet de faire ce que l'on appelle des économies d'échelle. On doit pouvoir donc s'interroger sur la pertinence du modèle de la maison individuelle qui découle. A la fois de choix individuels donc, et de choix collectifs.
- Speaker #1
Alors, faut-il aujourd'hui chercher à inverser la tendance, à proposer un modèle d'habitat différent, plus axé sur les logements collectifs, Maguede ? Alors,
- Speaker #5
achat du point de vue écologique, sans aucun doute. L'enjeu est aujourd'hui de proposer des typologies d'habitat plus adaptées à nos défis écologiques et sociaux. Alors, améliorer l'habitat collectif, réduire et repenser l'habitat individuel, créer des politiques d'aménagement adaptées. C'est un défi, évidemment, un défi pour habiter mieux cette population. planète qui reste notre seul habitat, un habitat collectif.
- Speaker #1
Merci Maguette pour cet éclairage et justement ces chiffres et ces témoignages nous invitent plus que jamais à relever à notre tour ce défi d'habitation écologique. Vous le savez, avoir un logement responsable n'est pour autant pas toujours une mince affaire. Il n'est pas évident de s'imaginer déménager du jour au lendemain pour se lancer dans l'expérience de l'éco-quartier. Parfois, il faut s'adapter à ses responsabilités écologiques, à ce qui est réalisable et à son échelle. On pense notamment aux installations du quotidien qui réduisent considérablement son empreinte écologique. Notre experte BPCE Assurance, Marion Aubert, va maintenant répondre à nos questions pour nous aider à trouver ces solutions qui protègent la planète et le porte-monnaie. Marion Aubert, bonjour.
- Speaker #6
Bonjour.
- Speaker #1
Avec vous, nous allons essayer de comprendre ces grandes tendances et voir ensemble comment réduire l'impact sur notre environnement et de mieux vivre notre habitation avec des solutions vertes et adaptées. Alors pour bien comprendre quels sont les impacts environnementaux de l'habitat de manière générale.
- Speaker #6
L'impact environnemental de l'habitat est double. En premier lieu, la phase de construction, et on l'a dit tout à l'heure. Quels produits sont utilisés pour construire le bâtiment ? Simon, béton, fenêtres, portes, tous ces produits peuvent être plus ou moins respectueux de l'environnement. Et dans un second temps, la manière dont on vit dans ce bien. Par exemple, le mode de chauffage, ou la qualité de l'isolation thermique, ou de l'aération. Donc si je me chauffe au fioul, par exemple, qui est une énergie fossile, issus du pétrole, mon impact environnemental sera bien plus fort que si je me chauffe à l'énergie solaire ou en aérothermie. Si mon habitation est bien isolée et bien aérée, je me chaufferai moins en hiver et j'aurai donc moins chaud en été et donc moins besoin de climatisation, si j'en ai une. Je consommerai donc au global moins d'énergie et mon impact environnemental sera moindre.
- Speaker #1
Alors Marion, on parle toujours de notre impact sur l'environnement, mais à l'inverse, quel impact l'environnement a-t-il sur l'habitat ?
- Speaker #6
Alors, les événements climatiques sont de plus en plus nombreux et plus forts qu'auparavant. On peut citer par exemple la sécheresse. La sécheresse, ça fait bouger les sols et donc les habitations. Et ça crée des fissures sur les bâtiments qui peuvent parfois être très importantes. Mais on peut aussi citer les inondations, les submersions marines, les tempêtes, le gel. Vous voyez, tout type d'événements. Et le rôle de l'assureur est bien sûr d'assurer ses clients en cas de sinistre, mais il est aussi de proposer des moyens de prévention pour éviter que le sinistre ne survienne à nouveau ou en amont des événements climatiques. Par exemple, prévenir un client lorsqu'un événement climatique est annoncé pour qu'il anticipe, qu'il ferme ses fenêtres, qu'il arrête sa box, qu'il ferme ses volets, enfin qu'il se protège et qu'il protège son bien. Après un sinistre, conseiller le client pour éviter et réduire l'impact de potentielles prochaines inondations si on parle d'inondations. Par exemple, le portail. poser des bardeaux devant ces portes ou ces fenêtres, déplacer le compteur électrique ou les machines, une machine à laver, la vaisselle, le lin, je ne sais quoi, pour les passer du sous-sol au rez-de-chaussée, voire même du rez-de-chaussée au premier. Installer un système d'écoulement des eaux pluviales plus efficace. On a plein de solutions possibles pour aider nos clients, même après un sinistre. Les exemples sont nombreux et montrent que la prévention est un axe Merci. majeurs pour limiter l'impact sur l'habitation et par conséquent sur l'environnement.
- Speaker #1
Ces grandes tendances aujourd'hui font émerger des solutions pour une économie responsable. Quelle est votre approche ?
- Speaker #6
Nous souhaitons aider nos clients à être ou à devenir éco-citoyens, à les accompagner dans leur démarche écologique. Pour cela, en complément de la prévention dont j'ai parlé tout à l'heure, nous les aidons en leur proposant des offres d'assurance spécifiques pour des éco-citoyens de type assurer leur pompe à chaleur, assurer leur panneau solaire, leurs éoliennes individuelles. Donc on a comme ça un certain nombre de choses que l'on assure. Et on va même jusqu'à assurer la perte économique en cas de non-production d'électricité verte. Donc nous assurons aussi les maisons à hausse à turbois, ou les chalets en bois, les toits de chaume. Vous voyez, c'est assez varié, mais on essaie vraiment de proposer des solutions d'assurance pour les clients qui sont déjà, j'allais dire, un peu avancés sur ce sujet-là.
- Speaker #1
Alors, comment accompagnez-vous ces consommateurs, ces clients, dans leur transition énergétique ?
- Speaker #6
Nos assurés peuvent, depuis leur espace assurance, choisir des artisans agréés de notre réseau pour être accompagnés dans leur réflexion sur leur transition énergétique. Par exemple, un DPE, le diagnostic de performance énergétique, ou pour avoir des conseils, des devis, puis après, bien évidemment, faire des travaux.
- Speaker #1
Marion, parlons d'argent. Comment adapter ces démarches écologiques à ses propres moyens financiers ?
- Speaker #6
Différents types de travaux bénéficient de l'aide financière de l'État. Et des entreprises spécialisées dans ce type de travaux peuvent aider les clients à trouver ou à obtenir ces différentes aides.
- Speaker #1
Évidemment, tout le monde peut apporter aujourd'hui sa pierre à l'édifice du logement responsable, j'imagine. Oui,
- Speaker #6
bien sûr. Chacun en fonction de ses moyens et du lieu où il habite, bien évidemment.
- Speaker #1
Alors, lorsqu'on a le choix, vaut-il mieux investir dans l'aménagement durable de son logement ou tenter l'expérience de l'écoquartier, comme on a entendu tout à l'heure avec Céline dans le reportage ?
- Speaker #6
Je pense que c'est totalement un choix individuel. Ça a l'air d'être absolument génial de vivre dans cet écoquartier, mais ça dépend des choix des uns et des autres. Je pense que les deux sont extrêmement intéressants.
- Speaker #1
Et comment se prévenir pour éviter de mauvaises surprises en cas d'acquisition ? Quelles solutions proposez-vous ?
- Speaker #6
Pour moi, le conseil le plus important à donner à quelqu'un qui... Prendre la décision de faire l'acquisition d'un bien, c'est de demander avant l'achat et de lire attentivement, même si ça n'est pas toujours facile à lire, les différents diagnostics obligatoires quand un bien est en vente. Donc le DPE dont je parlais tout à l'heure, le diagnostic de performance énergétique, mais c'est aussi des diagnostics pour le gaz, l'électricité, l'état des risques et des pollutions, qui va regrouper plein d'informations sur les risques naturels comme les risques d'inondations, d'avalanches. ou d'incendie, les risques sismiques et autres types de risques. Et ces différents diagnostics vont vraiment permettre aux clients de savoir à quel risque il est explosé quand il achète son bien.
- Speaker #1
Merci Marion Aubert pour toutes ces explications. Voilà, c'est ainsi que s'achève le premier épisode de votre nouveau programme. Ça nous rassure, l'Audiomag pour mieux vivre protégé autour de l'habitation. Dans le prochain épisode, nous aborderons le thème de l'automobile en observant comment notre rapport avec ce moyen de transport a évolué dans le temps. Ce qui au départ était un symbole de progrès, de liberté et de réussite sociale, qui devient peu à peu un défi pour les agglomérations. On se retrouve très vite pour découvrir ensemble comment vivre mieux et de manière durable. Merci à tous et à la prochaine !
- Speaker #0
L'Audiomag pour vivre mieux protégé.